mercredi 25 mai 2011

poéme de l'amour 13

Si j’apprenais soudain que, triste, halluciné,
Maudissant, haïssant, tu as assassiné,
J’irais tranquillement vers cette main mortelle,
J’abdiquerais le monde, et me tiendrais près d’elle…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire