Lorsque je souffre trop de ton brillant visage,
Quand mon cœur asservi ne peut plus te quitter,
Je songe qu’autrefois de lointains paysages,
Des ports et leurs vaisseaux, de fameuses cités
M’éblouissaient ainsi ; mon désir irrité
Croyait ne pas pouvoir vivre sans ces rivages…
— Je n’en eus plus besoin quand je les eus chantés.
Quand mon cœur asservi ne peut plus te quitter,
Je songe qu’autrefois de lointains paysages,
Des ports et leurs vaisseaux, de fameuses cités
M’éblouissaient ainsi ; mon désir irrité
Croyait ne pas pouvoir vivre sans ces rivages…
— Je n’en eus plus besoin quand je les eus chantés.
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